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LA FARE LES OLIVIERS

terrain à LOUER

À LOUER – TERRAIN DE 1400M2 NON CONSTRUCTIBLE CLÔTURÉ AVEC PORTAIL – LA FARE-LES-OLIVIERS (13580)

Emplacement stratégique et visibilité optimale !

Nous vous proposons à la location un terrain non constructible entièrement clôturé avec portail sécurisé, idéal pour du stockage, du stationnement de véhicules, ou une activité nécessitant un espace extérieur clos.

Points forts :
Visibilité exceptionnelle grâce à un emplacement en bordure d’axe routier
Accès rapide aux grands axes : proximité immédiate de l’A7 et de l’A8, facilitant les déplacements vers Aix-en-Provence, Marseille et Salon-de-Provence
Sécurisé et fonctionnel : clôture et portail pour un accès contrôlé
Zone dynamique : situé sur un secteur en pleine expansion

Idéal pour : entreprises de transport, artisans, stockage de matériel ou stationnement de véhicules professionnels.

Pour plus d’informations ou organiser une visite, contactez-nous dès maintenant !

Détails supplémentaires

Charges comprises Non
Taxe foncière 2 704€/an HT
Loyer annuel 42 000€/an HTHC
Loyer annuel / m² 30,00€/m² HTHC
DPE En cours

Les plus

  • Nbre Parkings extérieurs :

Résumé

Référence : 13_1175
Surface totale : 1400 m²
Surface terrain : 1400 m²
Disponibilité : Immédiate
Divisible : NON
3 500€  /mois HTHC

Votre interlocuteur

*Champ obligatoire

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Questions fréquentes

Qu’est-ce qu’un bail commercial et quels sont ses avantages et inconvénients ?

Le bail commercial est un contrat de location conclu pour une durée minimale de neuf ans. Il s’adresse aux activités commerciales, artisanales ou industrielles et offre une grande stabilité au locataire. Ce dernier bénéficie notamment d’un droit au renouvellement, ainsi que d’une indemnité d’éviction si le bailleur refuse de prolonger le contrat. C’est donc une véritable garantie de pérennité pour développer son activité. En contrepartie, ce type de bail implique des engagements importants : la durée est longue, la sortie est plus complexe, et la rédaction doit respecter un formalisme strict, ce qui peut engendrer des coûts juridiques supplémentaires.

Le bail dérogatoire, souvent appelé bail précaire, est conclu pour une durée maximale de trois ans. Il permet de tester une activité, d’ouvrir un pop-up store ou d’occuper temporairement un local sans s’engager sur le long terme. La différence majeure avec le bail commercial réside dans sa souplesse : la mise en place est rapide, la durée courte et la sortie facilitée. En revanche, le locataire ne bénéficie d’aucun droit au renouvellement ni d’indemnité d’éviction à l’expiration. Attention toutefois : si le contrat dépasse trois ans ou si le locataire reste dans les lieux sans opposition du bailleur, il est automatiquement requalifié en bail commercial.

La recherche d’un local professionnel ne se fait pas à la dernière minute. Il est conseillé d’anticiper et de commencer ses démarches entre six mois et un an avant la date prévue d’installation. Ce délai permet de comparer les offres, de négocier sereinement les conditions du bail et, dans le cas d’un bail commercial, de disposer du temps nécessaire pour la rédaction juridique et l’éventuelle mise aux normes du local. Même pour un bail dérogatoire, qui se met en place plus rapidement, prévoir en amont reste une bonne pratique afin d’éviter les mauvaises surprises.

La garantie bancaire est un engagement pris par une banque qui s’engage à payer le bailleur si le locataire ne respecte pas ses obligations financières. Elle fonctionne comme un filet de sécurité rassurant pour le propriétaire, sans pour autant immobiliser directement les fonds du locataire. Ce dispositif est souvent privilégié car il sécurise le bailleur tout en laissant de la trésorerie disponible à l’entreprise. Toutefois, en cas d’impayé, la banque n’intervient qu’après avoir vérifié et justifié la défaillance, ce qui peut parfois allonger les délais de règlement.

Le dépôt de garantie correspond à une somme d’argent versée par le locataire au bailleur lors de la signature du bail. Son rôle est de couvrir d’éventuels impayés de loyers ou les frais de remise en état en fin de contrat. Son montant varie généralement entre un et deux trimestres de loyers hors taxes, mais il peut aller jusqu’à six mois selon les clauses du bail. Lorsque le contrat arrive à son terme, le bailleur restitue cette somme, déduction faite des éventuelles sommes dues. Dans certains cas, notamment pour les baux commerciaux, des intérêts sont même dus par le bailleur si le dépôt excède un certain seuil.

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